La nuit, on imagine ce qu'on désire et tout paraît possible. Au grand jour,
l'imagination pâlit. La nuit, on voit des choses inexsistantes et on y
croit.


jeudi 24 décembre 2009

MeRRy ChRiStMaS =D


Ce soir, c'est le réveillon de NoËl. Oui, celui-là même que je ne voulais pas fêter. Peut-être parce-que je savais que l'ont allait forcément se disputer. Ce qui est bien évidemment arrivé. Mais bon. J'ai décidé de ne plus prononcer de gros mots durant le reste de la soirée [et peut-être plus]. Du coup, parfois mes fins de phrases sont étranges. Enfin bref.
Ce soir ont va faire simple. Ont va déjà être toutes les trois, j'crois que c'est cela qui compte le plus, non? J'me sens bien. Peut-être pas heureuse, mais bien. J'retrouve my cocoon. Je voulais téléphoner à mon père. J'espère qu'il n'est pas seul, même si je sais qu'il n'aime pas ces fêtes et que ça ne le dérange pas. Il doit être avec des amis. Il n'a pas répondu.
"J'te donne le bolduc si te me dis ce que tu vas m'offrir". Courir pour acheter les cadeaux, sous la pluie, en ville, surtout avec les 12 millions d'autres personnes qui s'y prennent comme moi à la dernière minutes (et finalement se rendre compte que l'on aurait pu tout acheter à deux rues de chez nous), puis redescendre parce-que l'on oublié quelque chose. La faire sortir du magasin lorsqu'on se décide enfin à choisir ce qu'elle trouvera sous le sapin décoré simplement cette année mais qu'elle ne pourra découvrir que demain matin. Lorsque lui [un autre lui, pas du tout la même personne que j'ai pu évoquer auparavant] sera arrivée. Ont prendra un gros petit-déj' tous ensemble. Ont se racontera notre soirée.
Il me manque déjà. Mon ami? Plus que cela. Comme un grand frère -avec tout ce que cela implique ou presque.